Jacques Benveniste, 1935/2004, médecin et immunologiste français, directeur de recherche à L’INSERM., a révélé dans ses expériences que l’eau garde en mémoire les propriétés des molécules avec lesquelles elle aurait été en contact même lorsque celles-ci ne s’y trouvent plus.
Le professeur Luc Montagnier, 1932/2022, biologiste virologue, Prix Nobel de médecine avec Françoise Barré-Sinoussi et Harad zur Hausen pour avoir découvert le VIh, virus de l’immunodéficience humaine, responsable du sida, a repris les travaux de Jacques Benveniste, après sa mort.
Le professeur Luc Montagnier est arrivé à enregistrer des fréquences vibratoires que l’eau reçoit lorsqu’elle est mise en présence de musique ou de différentes sortes de son.
Comme Jacques Benveniste, le professeur , Luc Montagnier raillé à son tour, en 2010, annonce qu’il fuit le climat de terreur intellectuelle qui règne en France à son encontre et prend la direction d’un Institut de recherche en Chine, à Shangaï, à l’Université Jiatong où il poursuit ses recherches.
Lors de sa première expérience sur du plasma sanguin de malades infectés par le virus du sida, il détecte des ondes électromagnétiques.
Fasciné par ce phénomène qui met en lumière les étonnantes propriétés de l’eau, épaulé par Jamal Aïssa de Nanectis Biotechnologies, ancien collaborateur de Jacques Benveniste, que l’on pourrait tristement appelé le Galilée du XXème siècle, ils travaillent de concert avec le professeur italien de biologie moléculaire, Vittorio Colantuoni, de l’université de Sannio Benevento à Rome, le professeur Giuseppe Vitiello, professeur de chimie et physique quantique à l’université de Strasbourg, Marc Henry, pour démontrer que les ondes électromagnétiques auraient les mêmes propriétés que la matière qui les a émises, et que les molécules d’eau ont la capacité de tisser des liens entre elles afin d’organiser des amas très actifs. Cela peut nous rappeler le lien avec l’article sur l’intrication.
Notre corps étant fait de 90% d’eau, cela bouleverserait toute approche thérapeutique autant dans le diagnostic que dans le traitement. Et là on peut comprendre aussi cela avec l’article épi génétique et trans- générationnel
En parallèle, le chercheur japonais Masaru Emoto,1943/2014, ayant observé que les vibrations émises par des instruments de musique ou par la voix, provoquaient dans l’eau la formation de cristaux d’une rare beauté, conclut, après avoir examiné et photographié leurs structures à l’aide d’un microscope, que ces vibrations pouvaient avoir une influence bénéfique sur notre organisme qui, lui, se compose, en fonction des morphologies, de 60 à 80% d’eau.
Masaru Emoto a aussi fait l’expérience avec des sons, des mots et même des pensées, disgracieuses, et il a constaté que les cristaux étaient laids et déformés. Et encore ici on peut se référer à l’article effet placebo, nocebo et la puissance de la pensée
L’eau, étant présente partout sur la Terre, et qu’elle est comme nous, impactée par son état vibratoire, et le nôtre ( ou vice et versa d’ailleurs, (voir l’article « énergie et taux vibratoires », on peut aisément imaginer retrouver dans la calotte glaciaire, de beaux ou cristaux, ou des cristaux déformés. On pourrait savoir puisque l’eau à une mémoire, les bonnes ou les mauvaises périodes que la planète a connue dans le passé, et prévoir, comme tout est cyclique, notre future. Peut-être que des travaux sont en cours en Antarctique, là je n’ai pas fait de recherches approfondies, donc je dirais que c’est plutôt une supposition, peut-être un nouveaux chapitre à écrire ?