L’effet placebo, signifie en latin ” je vais plaire”. C’est un effet subjectif, mais réel, produit sur une personne par un médicament n’ayant pas d’efficacité démontrée.
Quand, affligé d’un terrible mal de crâne, vous avalez deux comprimés d’aspirine, si vous vous sentez déjà mieux au bout de dix minutes, ce n’est pas parce que l’aspirine fait déjà son effet (elle est encore dans votre estomac) mais grâce à l’effet placebo. Ce qui veut dire que même les médicaments efficaces sont doués d’effet placebo !
L’effet placebo n’est pas seulement véhiculé par les médicaments. Quand un parent pose un baiser sur le bobo d’un enfant, si l’enfant cesse vite de pleurer, ce n’est pas la magie du baiser qui l’a soulagé, mais son effet placebo. Quand un patient entre chez le médecin avec des symptômes inquiétants et en ressort en souffrant moins après que le médecin lui a expliqué que ses symptômes sont bénins, c’est encore grâce à l’effet placebo.
L’effet placebo découle de la confiance de l’utilisateur dans le médicament qu’il absorbe, mais ce n’est pas un effet magique – il déclenche, à l’intérieur du cerveau, la sécrétion de substances appelées endorphines, qui soulagent la douleur et divers autres symptômes. Autrement dit, l’effet placebo est la conséquence biochimique d’une suggestion symbolique.
Le nocebo, le pendant négatif du placebo.
Moins connu que l’effet placebo, le nocebo est pourtant son pendant puisqu’il signifie en latin « je vais nuire ». Il repose sur le postulat suivant : quand un patient connaît les effets secondaires d’un médicament il risque de davantage les ressentir. Les paroles négatives que peut prononcer un médecin ont également un fort impact négatif sur la santé du malade.
Vous aurez compris ici que nous pouvons décider avec notre intime conviction, que cela fonctionne ! On retrouve ici la notion de puissance de la pensée, qui peut être pratiquée, en visualisant simplement avec des mots, sans négations mais plutôt à connotations positives, le bien-être recherché. Auto-hypnose par exemple.
Cette pensée est tellement puissante que sans le vouloir nous créons notre réalité.
Si ce que l’on croit peut-être bénéfique pour nous alors la question serait quel tort nos pensées négatives peuvent-elles causer?
Quelles peuvent être les conséquences des bombardements de messages transmis par les médias, centrer sur les mauvaises nouvelles?
Décidons-nous d’être conditionné à croire que nous vivons dans un monde constamment menacé?
J’ai maintenant l’intime conviction que nous pouvons choisir de se laisser entraîner par l’égrégore de peur environnante, ou plutôt se choisir et aller vers un égrégore de paix et d’amour.
Il ne s’agit pas de tourner le dos à tout ce qui peut être mauvais dans le monde, mais plutôt de transformer cet état en se tournant vers soi, afin d’entraîner les autres vers le même chemin.
Comme le disait le Mahatma Gandhi “soi le changement que tu veux voir dans le monde”
J’apprends quelque chose de nouveau et de stimulant. Cela excite ma curiosité. Merci
Super! c’est le but de tout ces écrits!!!